A peine les élections cantonales achevées, la course pour 5 sièges qui seront pourvu le 25 septembre prochain lors des élections sénatoriales en Essonne est lancée.
Si la gauche à d’ores et déjà officiellement désigné sa tête de liste (sans pour autant être certaine d’éviter des listes dissidentes : http://www.jean-philippe-dugoin.fr/le-ps-vieux-parti-bonapartiste/ & http://www.jean-philippe-dugoin.fr/ps-91-defaites-de-mandon-et-chouat/), le 1er candidat de droite à se déclarer officiellement vient de le faire hier.
Il s’agit de Vincent Delahaye, Maire de Massy et Président départemental du Parti Radical Valoisien de Jean-Louis Borloo.
Ce dernier, qui avait raté l’élection en 2004 de seulement 40 voix, a donc annoncé sa candidature avec la présence en numéro 2 sur se liste de Jocelyne Guidez, Maire sans étiquette de Saint Chéron.
Marie-Thérèse Leroux, Maire sans étiquette elle aussi de Richardville, qui figurait à cette place sur la liste de Vincent Delahaye en 2004 devrait être la Présidente de son comité de soutien.
Reste maintenant à savoir quels seront les autres candidats de droite et surtout, le nombre de listes qui se revendiqueront de cette famille politique, étant entendu que selon le niveau de division, la droite restera à 2 sièges ou pourrait espérer passer à 3 sur les 5 que compte notre département.
Il serait bon que l’UMP évite de présenter à nouveau le sénateur Dassault (86 ans) et se réunisse derrière une candidature unique portée par la dynamique du renouvellement générationnel avec des trentenaires, des quadragénaires et des quinquagénaires car Pierre Corneille a précisé au 17e siècle qu' »aux âmes bien nées, la valeur n’attend point le nombre des années » … 😉
CORBEIL-ESSONNOIS, je rejoins l’internaute BR says, il faut tourner la page DASSAULT, avec le temps tout…………………………….
Retraité C.E.
d’accord pour le renouvellement des clans d’anciens et surtout il me semble pour être ELU de R.F. il faut montrer patte blanche.