Je voudrais avoir une pensée toute particulière à mes amis qui ont candidatés auprès des différentes formations politique de la droite et du centre pour être candidat aux régionales et dont la candidature n’a pu être retenue.
En effet, notre liste aux élections régionales a été déposée et je peux légitimement, comme mes 23 colistiers Essonniens, être plus qu’heureux d’y figurer.
Cinq ans après avoir déjà participé à cette belle aventure aux côtés de Valérie Pécresse (Je figurais alors en 12ème position, place qui ne m’avait pas permis d’être élu) je mesure aujourd’hui quelle est la chance qui est la mienne, mais aussi et surtout l’opportunité et la confiance qui me sont apportées par ma formation politique l’UDI et nos alliés LR et MODEM, par Jean-Christophe Lagarde et Valérie Pécresse.
Pour autant je ne peux pas ne pas penser à celles et ceux qui auraient souhaité faire partie de cette liste mais qui n’ont pas pu y figurer…
Avec plus de 150 candidatures enregistrées pour l’Essonne pour seulement 24 places (presque 1600 pour l’île de France pour 209 places), le nombre de déçus est forcément important.
Je voulais simplement leur dire ici mon amitié.
Je sais pour l’avoir vécu, que parfois, la vie politique peut-être dure, amère et sembler injuste.
Pour autant chacun d’entre eux, chacun de mes amis qui aurait mérité, tout autant que moi ou que d’autres d’être sur cette liste mais qui n’ont pas pu y être finalement, trouvera auprès de moi ainsi que, je n’en doute pas, de notre tête de liste départementale Stéphane Beaudet une oreille attentive, pour que tous ensemble, nous essayons puissions travailler pendant 6 ans, en faveur notre département et de chacun de leurs territoires lorsque nous aurons repris la région aux socialistes.
En effet, n’oublions jamais que l’objectif de cette élection n’est pas de placer untel ou untel, mais qu’il est d’être en situation de peser à la région Île-de-France pour essayer de débloquer et de faire avancer enfin les dossiers essentiels pour notre territoire grand francilien, territoire qui a été bien maltraité pendant 17 ans de gestion socialiste de la région.
Enfin, pour finir, j’emprunterais cette belle phrase de Christian Schoettl adressée à Chantal Jouanno qui avait accepté de retirer sa candidature et de se placer derrière Valérie Pécresse pour permettre l’union : « Chantal aime plus l’Ile-de-France qu’elle ne s’aime elle-même ».
Aujourd’hui, je suis certain que tous, que nous figurions ou non sur chacune de nos 8 listes départementales en Ile-de-France et quelles que soient nos places sur ces listes, parce que, nous aimons plus encore notre région que nos carrières et ambitions personnelles, nous auront à cœur de permettre enfin l’alternance en faisant tout ce qu’il est nécessaire de faire pour porter Valérie Pécresse à la présidence de l’Ile-de-France.