C’est hier, en voyant sur i-télé, Louis Nicollin fêter dans les vestiaire du stade de la Paillade, à Montpellier, la victoire du club de la ville en tapant sur la cuisse de « son » candidat, Georges Frêche, en lui faisant remarquer que tout cela était bon pour sa campagne électorale que j’ai eu ce flash que je voulais partager avec vous.
Georges Frêche et son alter ego footballistique, « Loulou » Nicollin sont pour moi, au Languedoc Roussillon, ce que les deux vieux critiques du muppet show, Statler et Waldorf étaient à la télévision…
Verbatim :
« Pedretti a tout commandé sur le terrain, mais celui-là, quand il viendra à Montpellier, on va s’en occuper. Ce type est une petite tarlouze ! » dixit Loulou.
« Dans cette équipe, il y a neuf blacks sur onze. La normalité serait qu’il y en ait trois ou quatre. Ce serait le reflet de la société. Mais là, s’il y en a autant, c’est parce que les Blancs sont nuls. J’ai honte pour ce pays. Bientôt, il y aura onze blacks ». Dixit Georges Frêche, lors d’une séance de la communauté d’agglomération montpelliéraine, en parlant de l’équipe de France de football . Ces mots ont été rapportés par la suite dans une brève du Midi Libre de novembre 2006.« Y a rien de méchant. C’est vrai qu’il a une tronche de con, ce Fabius. Pauvre France, dans ce pays on ne peut plus rien dire… ». dixit Loulou.« Alors, vous êtes allés à Palavas avé les députés gaullistes, avé les gaullistes qui ont laissé les harkis se faire massacrer en Algérie. Faut-il vous rappeler que 90 000 harkis ont été égorgés comme des porcs parce que l’armée française les a laissés seuls là-bas ? Alors vous êtes vraiment d’une incurie incroyable. (…) Allez avé les gaullistes. Allez avé les gaullistes vos frères à Palavas, vous y serez très bien. Ils ont massacré les vôtres en Algérie et encore vous allez leur lécher les bottes. Mais vous n’avez rien du tout, vous êtes des sous-hommes ! Vous n’avez rien du tout, vous n’avez aucun honneur, rien du tout. Il faut que quelqu’un vous le dise, vous êtes sans honneur, vous n’êtes même pas capable de défendre les vôtres ». Georges Frêche en février 2006, lors d’un hommage à un ancien leader pied-noir ou il s’en était pris à des harkis qui avaient assisté le même jour à une manifestation similaire de l’UMP (retrnscription du Montpellier Journal)