Il était une fois à Corbeil
Corbeil-Essonnes et son élection municipale partielle est le théâtre d’un combat politique particulièrement complexe qui fait ressortir ce que j’abhorre le plus chez l’être humain en général, mais que l’on retrouve particulièrement dans le monde politique : la bassesse, la trahison, la médiocrité.
Si je ne partage pas (loin s’en faut) les options politiques défendues par les trois listes de gauche, je respecte cependant leurs engagements en faveur de ce qu‘ils croient bon pour leur commune.
J’ai d’ailleurs condamné le vandalisme de la permanence de Carlos Da Silva qui est un acte complètement incompatible avec l’idée que je me fais de la démocratie (https://jean-philippe-dugoin.fr/corbeil-une-permanence-vandalisee/).
Par contre, je suis choqué et peiné par les trahison dont est victime Serge Dassault et qui lui arrivent sous forme de coups de pieds de l’âne de la part de gens qui lui doivent tout et profitent de le voir aujourd’hui affaibli pour tenter de l’écraser…
Une façon peut être de se dédouaner d’une dette qu’ils savent ne jamais être capables de rembourser.
Ces gens conduisent des listes qui n’ont aucune chance réelle de victoire et peuvent juste permettre à la gauche de l’emporter grâce à la division qu’ils créent ou figurent même directement sur ces listes de gauche.
Ont-ils oubliés que cet homme de 84 ans qu’ils viennent poignarder comme d’autres en firent autant de Jules César aux ides de mars, leur a donné leurs mandats politiques passés et actuels pour tous, leurs travails pour certains, les décorations qui colorent leurs boutonnières et qu’ils salissent par le manque d’honneur dont-ils font preuve aujourd’hui pour d‘autres…
Voilà bien, au-delà de la fidélité qui est la mienne à ma famille politique, une seconde raison de voir la liste de Jean-Pierre Bechter, soutenue par Serge Dassault, remporter la victoire au soir du 4 octobre prochain. J’espère que les corbeillois, eux aussi, refuseront de faire confiance et de donner raison à de tels comportements qui ne grandissent pas leurs auteurs.