Couverture téléphonique de Mennecy
Confrontée à un certain nombre de contrevérité diffusées actuellement concernant l’installation éventuelle d’un relais de téléphone 3G pour couvrir le secteur du Levitt, afin de rétablir l’exactitude des faits, la Mairie de Mennecy diffuse actuellement le document suivant.
Couverture téléphonique de Mennecy
Nous préférons l’information à la désinformation
Depuis quelques semaines, une certaine opposition, aussi inconsciente qu’inconséquente et quelques associations qui cherchent légitimement à obtenir des informations sur les sujets qui les préoccupent mènent sur notre commune une vaste opération de désinformation dont le résultat est de créer un embryon de psychose parmi la population en prêtant à la Mairie le souhait de vouloir implanter coute que coute une antenne relais pour téléphone 3G sur le village Levitt au mépris de la santé des menneçois et en bafouant le principe de précaution.
De telles affirmations parce qu’elles sont inexactes doivent être corrigées.
Qu’en est-il réellement ?
La moitié de notre commune dispose aujourd’hui d’une couverture mobile insuffisante qui pénalise quotidiennement les habitants du village Levitt.
Les 3 opérateurs de téléphonie mobile ont donc étudié la possibilité d’implanter une antenne relais aux environs du centre commercial de la Verville.
Soucieuse du cadre de vie des habitants, la Mairie a fait procéder, par un bureau d’étude agréé, les 15 avril, 29 juillet et 2 septembre 2009 à des mesures de champs électriques afin de savoir si les habitants du village Levitt n’étaient pas d’ores et déjà surexposés.
Sur les 75 points qui ont été contrôlés, aucun champ électrique créé par un relais de téléphone mobile n’a atteint ni même approché 0,6 V/m ce qui est le plafond le plus bas demandé par les spécialistes les plus exigeants !
Par ailleurs, soucieuse du principe de précaution, la Mairie de Mennecy s’est portée candidate aux expérimentations décidées par le comité opérationnel mis en place par le Grenelle des ondes. Ce comité a été créé le 7 juillet 2009. L’ouverture du dépôt des candidatures a eu lieu le 18 septembre.
Au vu des données dont dispose la Mairie, l’installation d’un relais sur le Levitt et les nouvelles ondes qu’il génèrerait, ajoutées aux champs ambiants préexistants, amènerait des champs électriques entre 0,3 et 0,5 V/m sur les habitations du Levitt.
Qui fait quoi ?
Avant de polémiquer stérilement et de mettre en cause gratuitement, il est utile de savoir qui fait quoi. Formellement, trois intervenants sont concernés par ce dossier.
Les opérateurs qui font une demande d’installation et d’exploitation d’une antenne relais et en assurent l’entretien et le bon fonctionnement. Ils doivent faire la preuve que leur projet n’entraînera pas de dégradation de l’environnement et/ou de risque pour la population.
La Mairie, qui donne ou non son autorisation préalable aux travaux d’implantation d’une antenne (une décision de refus est susceptible de recours de la part des opérateurs).
L’Agence Nationale des Fréquences Radios (ANFR) qui, au vu des problèmes de couvertures et de respect des normes en matière de champs électriques donne ou non une autorisation d’exploitation.
Quelle est la question ?
La seule question qui se pose est de savoir si l’on souhaite permettre une couverture correcte du réseau de téléphonie mobile sur le village Levitt en restant sur des taux de champs électriques inférieurs aux normes ou si l’on préfère conserver la couverture actuelle avec ses « trous ».
Une décision finale qui sera partagée
Consciente des inquiétudes qui peuvent exister, la Mairie a souhaité qu’une décision partagée par le plus grand nombre puisse être prise.
C’est pourquoi, les 7 AFULS du Village Levitt et les ASL du Bréguet (qui sont les représentants directs des habitants) vont être saisies de cette question. Elles auront communication de l’ensemble des éléments techniques dont dispose la Mairie et seront invitées à rencontrer les opérateurs pour que ces derniers présentent leurs projets.
Sur la base de la décision des AFULS et des ASL, si les opérateurs venaient (ce qui n’est pas le cas aujourd’hui), à formuler officiellement une demande d’autorisation préalable d’implantation d’antenne relais pour couvrir le Levitt, la Mairie sera amenée a émettre un avis positif ou négatif.
Nous vous invitons donc à vous rapprocher de vos AFULS et ASL dans les semaines qui viennent afin, non seulement d’être pleinement informés de cette question, mais également de donner votre avis sur le choix qui s’offre à nous.


Monsieur DUGOIN,
Suite a votre article et pour rassurer les habitants du village LEVITT sur les éventuelles effets néfaste pour leur santé du à une sur expositions des ondes radio créer par les antennes relais sur notre commune. Vous pouvez leur indiquer l’adresse du site sur lequel le détail des mesures effectué sur MENNECY y est présenté et notamment celle concernant les intéressés. Rassurez, la polémique à ce sujet disparaîtra peut être d’elle-même…
Site web:
http://www.cartoradio.fr/info_pt.php?id=16547&l=3
Cordialement.
Merci du lien. C’est avec plaisir que je le publie.
Cordialement
“Nous préférons l’information à la désinformation”.
Joli slogan, pleinement partagé par les membres du Collectif Robin des Toits, de nombreux citoyens et riverains de votre futur projet, d’élus indépendamment de toute connotation politique (contrairement aux propos véhiculés par M.Feret sur certains blogs).
1) Tout d’abord sur le sujet de la réalité du besoin technique.
Pour reprendre les propos de M.Feret lors de notre rencontre d’août dernier, il s’agirait d’offrir la 3G à la zone de l’AFUL des Bouvreuils car mal exposée du fait de la présence de la colline de la Verville masquant partiellement la couverture depuis les antennes du château d’eau. Pour autant cette demande est-elle collective ou le fait de simplement quelques riverains ? Une association fortement implantée sur Mennecy vous a par ailleurs déjà posé cette question, mais toujours sans réponse à ce jour.
Second point sur l’estimation du besoin : ladite zone est parfaitement couverte en 2G+, et partiellement en 3G, seule la réception au sein même des maisons posant souci dans un nombre réduit de cas (pour la 3G). J’en tiens pour exemple le document de référence émis par Orange sur la couverture actuelle.
2)Sur la méthode employée pour la mise en oeuvre de cette antenne.
2.1) D’un point de vue démocratique, votre démarche, ou plus exactement celle de M.Feret relève de l’autoritarisme, et de l’aveuglement le plus ferme.
Le projet n’a donné lieu ni à information de la population, ni à consultation des riverains, et tout juste à une vague information des présidents d’AFUL.
Pire, une habitante de l’AFUL des Pâquerettes a profité de l’Assemblée Générale de janvier dernier à laquelle notre maire assistait, pour lui poser spécifiquement la question de savoir ce qui était prévu sur la parcelle sur laquelle l’antenne. Réponse d’alors : rien.
2.2) Sur le plan architectural, je m’étonne que votre projet ne soit pas plus considératif des différents règlements des AFUL. Je prends à titre d’exemple l’AFUL des Bouvreuils où vit Monsieur notre maire, et dont le site web mentionne la non-implantation d’antennes et pylônes à titre privé. Au cas d’espèce, la présence d’une antenne de téléphonie mobile de 20 mètres de haut à proximité ne semble désormais guère vous émouvoir. Avez-vous pris le temps d’expliquer aux riverains des conséquences de la présence de cette antenne quant à la valeur vénale de leur demeure ?
2.3) Sur les campagnes de mesure réalisées sur notre belle commune.
Lesdites campagnes ont été réalisées, et financées intégralement sur le budget des opérateurs. Ceci n’est pas un choix neutre. En effet, le juge judiciaire a récemment condamné ces mêmes opérateurs, sachant qu’il était apparu que plusieurs techniciens devant réaliser les mesures avaient préalablement prévenu lesdits opérateurs, afin qu’ils diminuent voire éteignent à distance leurs antennes d’émission le moment venu.
C’est pourquoi dans le doute, nous souhaitons qu’une étude complémentaire soit menée de façon indépendante afin de confirmer les premiers retours. Pour autant, et dans l’absolu, les valeurs relevées ne conditionnent pas l’avenir et les nouvelles émissions de l’antenne de forte puissance dont vous soutenez la mise en oeuvre.
3) Sur le sujet plus spécifiquement sanitaire.
Je suis surpris de constater que M.Feret instruit le sujet qu’à décharge. Tout d’abord, il émet à titre volontaire de spécifier sur le site de notre commune, différents documents tempérants fortement les propos rassurants des opérateurs de téléphonie mobile.
Un premier élément pour votre information : le rapport Bioinitiative http://www.bioinitiative.org/report/index.htm validé par l’Agence Européenne de l’Environnement en septembre 2007, et dont les recommandations ont fait l’objet d’une résolution votée par le Parlement Européen en septembre 2008.
Il ne s’agit pas au cas présent de se vouloir alarmiste sur les conséquences sanitaires, mais d’appliquer un principe de précaution. Plusieurs pays d’Europe ont déjà retenu légalement le principe d’antennes peu émissives, mais plus réparties (Suède, Norvège, Danemark…).
Pour conclure, je souhaite souligne que nous ne sommes guères fermés au débat.
Nous avions proposé à M.Feret de procéder :
- soit à l’implantation d’antennes de moindre puissance en des lieux qui permettent d’assurer une meilleur couverture 3G des zones concernées. L’ASEC milite d’ailleurs en ce sens en proposant deux lieux qui offrent la possibilité d’un rayonnement faible, et d’une meilleur intégration paysagère ;
- soit à l’implantation de l’antenne de forte puissance, mais dans les champs entre Chevannes et Mennecy afin d’assurer une couverture, et une redondance des dispositifs existants.
Mais il semblerait que seule une mobilisation massive puisse vous contraindre à revoir votre projet. Réagissez, il n’est pas trop tard.
Tout d’abord, merci de votre contribution à ce débat qui est pleinement d’actualité ainsi que de votre implication.
Je tiens cependant à vous précisez quelques points qui figurent d’ailleurs dans le courrier diffusé par la Mairie :
1 - Il ne s’agit pas d’un projet de la Mairie, mais d’un projet des opérateurs, non formalisé officillement à ce jour.
2 - Si cette formalisation est faite, la Mairie devra alors se positionner (un refus étant susceptible de recours).
3 - Il est un fait constaté quotidiennement par tous les habitants et commerçants du Levitt : le réseau de téléphonie mobile est très mal desservi sur cette partie de la commune. Ceci mérite donc d’étudier ce qui peut être fait pour répondre à cette carence, sans a priori, ni dogmatisme, sans chercher à créer un vent de panique.
4 - On peut toujours contester les études faites par les uns ou les autres, mais un bureau de contrôle agréé par l’Etat engage sa responsabilité lorsqu’il apporte une certification (y compris sa responsabilité pénale). Ceci ne signifie pas pour autant, et vous avez raison, qu’il n’y a pas des gens qui manquent de sérieux dans l’exercice de cette profession, même si je pense que c’est une infime minorité.
5 - Face à cette double problématique, la Mairie souhaite qu’un véritable débat puisse se nouer avec les habitants, en s’appuyant pour cela sur les AFULS et ASL. En fonction de ce qui ressortira de ce débat, qui peut et doit prendre tout le temps nécessaire (nous ne sommes pas dans l’urgence sur ce sujet !), la Mairie arrêtera sa position (si toutefois les opérateurs formulent officiellement leur demande). Il va sans dire, indépendament des opinions personnelles des uns ou des autres, à l’intérieur ou à l’extérieur du Conseil Municipal, que la position de la Mairie ne sera pas différente de celle formulée par les habitants au travers des associations foncières qui les regroupe
Bonsoir,
Tout d’abord, à propos du site cartoradio, les mesures faites le 2 septembre y ont été publiées. Les rapports (il y en a 2, car Orange a fait faire 2 séries au lieu d’une ce jour là), sont sur le site cartoradio et sur le site de la ville de Mennecy. Sur le site de la ville de Mennecy, j’ai mis aussi une représentation des points de mesure sur une photo aérienne prise sur Google Earth.
A propos de “l’instruction à décharge”, il ne faudrait pas exagérer. Je ne suis pas juge d’instruction. J’ai la curiosité assez développée, j’ai l’opportunité de faire faire des mesures sur toutes la ville, sans dépenser autre chose que mon temps, qui par ailleurs est gratuit pour la ville. S’il fallait obtempérer à toutes les interpellations, voire même les injonctions, il n’y aurait rien de fait aujourd’hui.
Malgré les cris, nous disposons maintenant d’une carte des valeurs de champ électrique sur la ville, combien de villes peuvent en dire autant?
A propos des mesures qui seraient manipulées par les opérateurs qui, prévenus par les laboratoires de mesure, baisseraient la puissance de leurs antennes pendant une série de mesures, c’est complètement fantaisiste, Mr Forthomme ne dispose d’aucune preuve pour l’affirmer.
J’ai cependant tenu compte de son affirmation pendant la série du 2 septembre pour vérifier, et c’est assez simple de le faire.
J’ai tout simplement lancé des appels avec mon mobile depuis chaque point de mesure, en particulier les points vraiment éloignés du chateau d’eau: rue du Clos des Anglais, la gare, l’entrée du parc, le rond point de la poste. Ces points ne sont pas couverts par une autre antenne, la valeur du champ électrique n’aurait pas été si faible: 0,2 à 0,26V/m de champ total. La communication est passée partout. J’en ai profité pour plaquer mon mobile sur la sonde. Le champ rayonné par mon mobile s’élevait alors à 10 V/m. C’est à dire au moins 100 fois celui de l’antenne relais avec laquelle il communiquait.
Plus sérieusement, des laboratoires indépendants (EMITECH et Bureau Veritas) sont accrédités par une agence de l’Etat, c’est à dire que les travaux qu’ils produisent sont opposables aux tiers. Cette accréditation est très diffcile à obtenir, elle est très facile à perdre si la qualité du travail est mise en doute, l’Etat est ici impitoyable.
Payer une société tierce pour faire un contrôle est un grand classique dans notre société. Nous passons nos voitures au contrôle technique, Mr Forthomme fait contrôler sa chaudière au gaz chaque année, la ville fait contrôler ses installations électriques et gaz chaque année. C’est obligatoire, et personne ne met en doute la pertinence des résultats des contrôles.
Maintenant à propos de ce projet.
Mr Forthomme se trompe, ce n’est pas mon projet, ce n’est pas celui de la ville, c’est celui des 3 opérateurs.
C’est vrai que des Menneçois nous ont régulièrement interpellé pour améliorer la couverture du sud de la ville, au pied de la colline de la Verville ou tout au sud-ouest des Levitt et Breguet, mais ce n’est pas la ville qui demandent aux opérateurs de poser un relais ici ou là. Les opérateurs ont des obligations de couverture, des ressources financières pas illimitées pour satisfaire ses obligations, et comme ils portent seuls le risque financier, ils sont maîtres du déploiement de leurs réseaux.
Au stade du projet des opérateurs, il n’y a pas de demande de travaux déposées aujourd’hui. Il est donc difficile d’affirmer quelle serait la hauteur du mât, sa couleur. Nous avons seulement écouté les opérateurs expliquer le pourquoi de la démarche et vers quoi le projet pourrait tendre.
A propos de l’autoritarisme, Mr Forthomme est ici médisant. Tout le monde connaît l’existence du projet, toutes les informations que j’ai pu rassemblées sont sur le site Internet de la ville, dès lors qu’elles sont qualifiées. Et Mr Forthomme ou ses collègues crient à l’autoritarisme.
Par contre, quand Bouygues a commencé à émettre en 1800Mhz sur le chateau d’eau, en novembre 2008, le silence de Mr Forthomme et de ses collègues a été assourdissant. L’installation de cet émetteur a été autorisée en 2006, donc par la municipalité précédente, et personne n’a protesté. La décision du Maire de l’époque a pourtant été annoncée au Conseil Municipal, le chantier de Bouygues s’est déroulé au vu de tous. Cette différence d’attitude de Mr Forthomme et de ses collègues m’interpelle, car on ne peut se camper sur le principe de précaution maintenant et fermer les yeux quelques mois plus tôt.
Le même schéma s’est produit avec le chateau d’eau d’Ormoy, qui rayonne sur Mennecy aussi depuis juillet 2008 et toujours sans émouvoir Mr Forthomme ou ses collègues.
A propos des réglements des Afuls, la surface au centre des Levitt, qu’elle appartienne à la ville ou au centre commercial, n’est pas dans le périmètre des Afuls. Le réglement des Afuls ne s’y applique pas.
Il faut aussi être prudent avec l’objet et le périmètre d’une Aful ou d’une ASL. Ces personnes morales, qui disposent d’une hypothèque de 1er rang sur tous les biens dans leurs périmètres, ont un périmètre et un objet précis. Si leurs actions sortent de l’objet ou du périmètre, elles peuvent être entraînées dans des ennuis dont les conséquences peuvent devenir lourdes pour leurs membres, précisément à cause de l’hypothèque qu’elles détiennent sur chaque maison.
Les Afuls et les Asls sont par contre des canaux de communication efficaces, les opérateurs sont les premiers à reconnaître qu’à Mennecy, ils ont au moins des interlocuteurs locaux.
Avec quelle Afuls et Asls faire de la concertation? Surement pas seulement celles des abords d’un projet, car c’est toute la ville qui est concernée. Ne pas faire d’autres antennes dans la ville, c’est implicitement en installer plus sur le chateau d’eau dans l’avenir, et en augmentant la puissance. Il serait honnête d’exposer ce raisonnement aux riverains du Chateau d’eau.
Limiter l’exposition au champ rayonné par la téléphonie mobile, c’est faire disparaître la couverture sur une partie de la ville, puisque l’installation de nouveaux relais serait interdite. Il faudrait exposer ce raisonnement aux utilisateurs actuels dans ces zones(A peu près tout ce qui est à plus de 500m du chateau d’eau).
Pour quel bénéfice? Aucun, puisque la plus grande partie du champ électrique ambiant vient d’autres sources que personne ne remet en question!
C’est l’ensemble des sources de champ électrique que j’ai voulu connaître dans cette démarche soi-disant autoritaire. Et j’ai découvert du Radio France, du radar, du DECT, de la ligne électrique HT, de la TV, de la radio FM, et un peu de téléphone mobile.
Personnellement, au nom du principe de précaution, je préconise de ne pas ignorer ces sources, mais je n’affirme pas qu’elles sont nocives.
Mr Forhomme et ses collègues bafouent le principe de précaution en se focalisant sur une plage de fréquence, sur un lieu géographique.
Alors je vais vous donner une bonne raison de crier. Le protocole ANFR impose des mesures entre 9Khz et 3000Mhz.
Les résultats que j’ai obtenus sont entre 100 et 3000 Mhz.
Il faut protester et exiger des mesures entre 9 et 100khz, au nom du principe de précaution.
Puis, si ces résultats sont obtenus, avoir le courage de maintenir les positions affirmées jusqu’à maintenant sur la dangerosité des ondes, sur les plafonds, sur l’autoritarisme, …
J’oubliais:
Le Grenelle des Ondes a décidé de faire des expérimentations. Ces expérimentations seront menées par un comité opérationnel installé le 7 juillet 2009.
Les candidatures pour être un site d’expérimentation ont été ouvertes le 17 septembre 2009. Je ne suis pas arrivé à inscrire la ville ce jour-là), mais seulement le 18 septembre.
Nous saurons le 30 octobre si cette candidature est retenue.