Corbeil : Conseil Municipal houleux

One Response to Corbeil : Conseil Municipal houleux

1. To be or not to be says:

   2 avril 2010 at 18 h 21 min

   Les jeunes des Tarterêts « cherchent un travail », normal, c’est légitime. Mais il n’y a pas que les jeunes des Tarterêt qui « cherchent du travail », beaucoup de jeunes sont dans cette situation et ils ne sont pas des Tarterêtes. Par ailleurs, il n’y a pas que des « jeunes » à rechercher un travail et il y en a même qui ne sont plus tout jeune et que l’on peut appeler des « seniors ». Cherchez du travail, celui qui n’aura pas à le faire durant toute ça vie aura bien de la « chance ». Lorsque l’on est jeune et que l’on cherche du travail ou non il faut savoir se bouger l’arrière train, pour montrer que l’on en a dans le ventre et faire ces preuves. Hors, après avoir eu des « responsabilités » et pas des moindres, j’ai eu l’occasion d’avoir des « jeunes des Tarterêts », notamment, et dans ces jeunes là, beaucoup ne savent pas se « remuer » et ne veulent pas le faire. Par contre, ils essaient tous les interdits et veulent imposer « leurs lois », Cependant, sur le territoire français, il n’y a qu’une seule loi, celle de la République. Et ce comportement n’est pas valable uniquement pour les Tarterêts, certes il est beaucoup plus « visible » dans ce que l’on appel des « Z.E.P. », ça serait trop facile.Certains de ces jeunes ne sont pas, voir très peu éduqué et sont de véritable « provocateurs, casseurs, voyous » et finissent même délinquant! Ce n’est pas parce que l’on a pas eu la chance que certains peuvent avoir que l’on ne peut pas s’améliorer, s’éduquer. Naturellement que la clef est dans l’éducation, mais pas seulement. Il faut aussi que ces « jeunes », s’ils sont à la recherche d’un emploi s’est qu’ils sont devenus des « adultes », quoi que l’on ne devient pas « adulte » du jour au lendemain tout simplement parce que l’on atteint l’âge de ça majorité, parce que l’on vient d’avoir ces 18 ans. Il y a bien des adultes qui ne seront « JAMAIS » adulte… Il faut aussi que ces jeunes comprennent qu’ils faut travailler pour avoir un salaire, qu’il faut s’ouvrir et s’intéresser à ce qui nous entoure pour évoluer et « grandir »… Mais il y a « travail et travail »… Le problème est que s’il n’y avait pas des « Patrons voyous » comme vous avez su le citer dernièrement et à juste titre, sur un ticket de votre blog, certains jeunes ne seraient pas « découragé »… Donc encore une fois, des « voyous », il y en a de « chaque côté de la barrière ».C’est « amusant » cette fâcheuse tendance à demander aux gens « constamment » d’être patient, alors que lorsque ça en concerne certains, la « patiences » se limitent à quelques minutes… Dans tous les domaines ont nous demande d’être patient, dans tous les domaines on demande aux gens « d’en bas » de faire des « efforts » et se sont « toujours » les mêmes à qui on demande de faire des efforts. Mais les gens en bas de quoi Monsieur DUGOIN??? Il n’y a pas des gens d’en haut ou d’en bas, il n’y a que des hommes et des femmes qui ne sont que des êtres « humains »! Un autre problème, est qu’il y a des individus qui n’ont plus une goûte d’humanité et qui n’ont aucun respect à l’encontre des personnes, quoi qu’ils en disent ou qu’ils veulent faire croire…Juger les autres, s’est facile, critiquer, s’est facile, mais trouver des solutions dans un monde en perpétuel mouvement avec de multiples ethnies, des idées différents, de religions différentes, des défis colossaux, dans le respect de la dignité humaine, dans le respect de ce qui nous a donné la vie à tous, notre planète… Ceci Monsieur DUGOIN est un travail énorme et des hommes ainsi que des femmes y travail chaques jours. Ces hommes et ces femmes méritent le plus profond respect, car la tache est extrêmement « ardu ».Que l’on soit de gauche ou de droite, pour moi, ça n’a pas un grand intérêt, parce qu’il y a des compétences de « chaque côté » et des idées qui méritent d’être écouté et défendu. Et d’un côté comme de l’autre, il y a des personnes pas très « recommandables ».Vous le savez bien Monsieur DUGOIN, l’habit ne fait pas le moine et effectivement j’ai eu cette opportunité de travailler avec des personnes de multiples nationalités et origines différentes et il y avait aussi des personnes très courageuses et méritantes… Forcément, il m’est aussi arrivé de travailler avec des jeunes de zone que l’on dit « respectable » comme le LEVITT par exemple, Et bien Monsieur DUGOIN, les voyous n’ont n’y couleur n’y lieu qui leur est propre, car je me souviens très bien d’un jeune qui provenait de cette « zone » et qui n’avait le comportement que d’un irresponsable et d’un voyou.Non, si les choses étaient si faciles, les solutions seraient toutes trouvées. Que se soit sur le problème de l’usage du nucléaire Iranien, les prisonniers détenu entre les mains des Farc, du port du voile en Europe, de la nécessité de changer nos habitudes et comportement pour respecter notre environnement qui nous fait « tous » vivre… Du non respect des droits de l’homme a travers le monde, du non respect de la femme qui n’a pas à être assujetti… Et pour rester beaucoup plus proche de chez nous, quoi que nous soyons tous « lié », puisque nous vivons tous sur une seul et unique planète. Pour rester plus proche de chez nous, si les salariés de la STA sont en grève comme l’ont été las salariés d’Altis et beaucoup d’autres. Si des professeurs au Lycée de Marie Laurencin ont dormi sur place pour manifester et montrer leurs mécontentements, c’est qu’il y a beaucoup de problèmes et que l’on demande a des personnes compétentes de trouver des « solutions » tout en sachant qu’il n’y à pas de solution miracle et que si on veut « changer le monde » quoi que cette formule en amuse certains là encore, que si on veut changer les choses dans le bon sens, il faut que tout le monde y participe et pas seulement les gens que l’on dit se trouver en « bas ». Mais en bas de « QUOI »?! Ca ne serait pas une forme de « discrimination » de le dire?Décidément le monde est vraiment « compliqué » et décidément j’ai le plus profond respect pour les personnes qui œuvre dans le bon sens, souvent dans « l’ombre »pour améliorer les choses sans autres arrières pensé.

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